Traducteur professionnel, un métier, une expertise
Précisions essentielles pour ceux qui pensent que le métier de traducteur professionnel s’improvise. On peut lire sur certains sites internet « qu’il n’y a pas de barrière à l’entrée » pour celle ou celui qui veut être traducteur. Sur d’autres, on trouve des offres d’emplois proposant «des petits jobs de traduction » pour étudiants ou professeurs de langues en vacances.
Cette vision suggère au mieux que le métier de traducteur peut s’improviser, au pire que ce n’est pas un métier…
Mais pourquoi s’en étonner quand on sait que le traducteur n’a pas de statut légal en France ? Il suffit en effet d’être bilingue pour s’installer comme indépendant et il n’est même pas utile de connaître une langue étrangère pour ouvrir son agence de traduction.
Il est donc essentiel de rappeler ici qu’il n’est pas simple de devenir traducteur professionnel et de s’imposer dans un secteur d’activité très concurrentiel. Les étudiants passionnés de langues suivent un cursus universitaire sanctionné par un diplôme de traducteur de niveau Bac+4/5. Ils peuvent alors réaliser des traductions littéraires, scientifiques, technique, …, se consacrer à des prestations pour les particuliers, travailler pour des institutions ou une clientèle d’entreprises présentes à l’international.
Il est également assez fréquent que des experts dans des domaines techniques, juridiques ou scientifiques se forment au métier de traducteur, capitalisant ainsi sur leurs savoirs et leurs expériences pour fournir des prestations de haut niveau de spécialisation.
Quelques qualités du traducteur professionnel
L’entreprise qui fait appel à un traducteur professionnel est en droit d’exiger une qualité de travail irréprochable.
Pour le traducteur, le mot à mot et l’approximation sont bannis lorsqu’il s’agit de traduire des messages de nature stratégique, commerciale ou technique.
Ses acquis et ses qualités humaines en font un maillon essentiel de la communication de l’entreprise.
L’essentiel étant toujours de traduire l’esprit et non la lettre …
Passons en revue quelques qualités indispensables au traducteur professionnel :
– il maîtrise parfaitement la langue « cible », celle dans laquelle il traduit (toujours sa langue maternelle). Il en connaît les rouages, les nuances et les subtilités, sait trouver le mot précis qui ne laisse aucune ombre à la compréhension du texte,
– son aisance rédactionnelle est là pour faire oublier au lecteur du document final qu’il s’agit d’une traduction,
– il est sensible à la culture des pays de la langue qu’il traduit. En connaissant leurs particularités, il évitera des à peu près ou des contresens dont les conséquences peuvent être sérieuses,
– son écoute et sa souplesse d’esprit lui permettent de s’adapter à des interlocuteurs variés, à la terminologie propre à des secteurs d’activité différents,
– et bien sûr sa rigueur.
L’expertise reconnue de CG Traduction et Interprétation
Pour Catherine Granell, aucune place n’est laissée à l’improvisation ! Elle travaille avec des traducteurs sélectionnés pour la qualité de leur travail et leur professionnalisme.Installés en France et dans de nombreux pays du monde, ce sont principalement des professionnels dans les domaines aussi pointus que la finance, l’aéronautique, le droit, l’industrie ou l’art.
La fiabilité de ses prestations de traduction fait de CG une entreprise dont l’expertise est reconnue par de grands groupes et des institutions gouvernementales qui lui font confiance depuis de nombreuses années.
Le rôle de la traduction juridique dans un contexte de fusion-acquisition internationale
Découvrez le rôle de la traduction juridique dans les fusions-acquisitions internationales et comment sécuriser vos documents contractuels pour éviter les litiges.
Comment briefer efficacement un interprète ?
Découvrez comment bien briefer un interprète. Points clés, erreurs à éviter et conseils adaptés à chaque type d’interprétation pour une communication réussie.
L’intelligence artificielle en interprétation : quelles avancées et quelles limites ?
L’IA s’impose dans tous les domaines, y compris la traduction juridique. Quels sont ses progrès, mais aussi ses limites et surtout ses dangers ?